Islam et témoins de Jéhovah - La soumission universelle

__==Ayant choisi de construire notre fil directeur sur le thème de la cohérence des ennemis du Christ, il nous plaît de montrer comme ces deux sectes, qu'on pense si différentes, l'un étant apparemment plus belliqueuse que l'autre, mais ce n'est que poudre aux yeux, vu que l'attentat du corps est sans importance, que ce qui corrompt l'âme et compromet le salut seul importe, plongent leurs racines dans une négation commune.
__==La première fois que je me suis aperçu de leur inattendue proximité, c'est par le mot qu'ils se passent tous, chez les musulmans comme chez les jéhovistes, que de soumettre aux chrétiens la question piège: "Vous dites que Jésus est Dieu… mais alors pourquoi ne connaît-il pas la date de la fin du monde ?". Pourquoi celle-là ? Parce qu'ils ont l'habitude, hélas, de laisser les chrétiens sans réponse, mais surtout parce qu'ils ne croient pas en la divinité de Jésus. Certes, s'ils y croyaient, ils seraient chrétiens !
__==Leur commune rhétorique, une pratique où les païens et les manichéens avaient jadis excellé, parce que rien ne favorise mieux la philosophie qu'une pensée moniste, leur enseigne ainsi à coincer et humilier leurs interlocuteurs, ce qui est, remarquons-le en premier lieu, une façon à la fois sournoise et stupide de concevoir la connaissance: celui qui a raison, ce serait celui qui arrive à piéger son contradicteur.  Le chrétien, lui, enseigne en charité.
__==— Mais répondons tout d'abord à cette question piège. Elle relève d'une façon très infantile de concevoir la connaissance, qui est celle de la gnose: connaissance futile, qui ne sert à rien, car à quoi sert la connaissance si ce n'est pour nous sauver ? Conception de la foi qui est celle d'un  épicier, d'un droguiste-quincaillerie: "j'ai tout dans ma boutique". On ne peut y répondre sans se rappeler d'abord la réalité de l'enfer et la nécessité pour l'homme, pécheur, d'être sauvé. La vraie, la seule connaissance est de nature salvatrice. Ce n'est pas une connaissance encyclopédique, d'un Jésus comme un médium qui rassemblerait ses sens pour faire venir la réponse par une recherche Google-Dieu; ce n'est pas cette connaissance en toc qu'apporte le Verbe incarné aux hommes assoiffés de spectacles et de prodige. Jésus apporte une connaissance qui sauve, et la conscience de la nécessité d'une connaissance qui sauve. La connaissance est en acte: dans les mains, les pieds, et tous les membres dont on nous chrisme au baptême, sur la bouche et dans le coeur. Voilà bien qui ouvre une théologie transcendalement plus profonde ! Mais combien de chrétiens se font piéger ?
__==Les musulmans n'ont pas changé leur méthode depuis saint Jean Damascène, et les témoins de Jéhovah la leur emprunteront. Elle consiste à ménager au chrétien une autoroute minée de ces chausse-trappes et de présentations inhabituelles des faits, ainsi que des questions où, tant que le chrétien n'a pas répondu dans les clous, l'interrogateur reposera imperturbablement la même question, encore et encore, pour gagner, échelon entériné par échelon entériné, un pénible enchaînement d'assertions littérales qui ne prend sens que dans leur logique fermée.

__==Il existe entre l'islam et les témoins de Jéhovah de nombreux autres parallèles.

(1) L'islam, nous l'avons dit, contrairement à ce que voudrait laisser penser l'humanisme, devenu théologien quand l'occasion se prêtait d'en faire une arme contre les chrétiens, l'islam n'a rien de transcendant, qu'il n'est pas cette "religion monothéiste" qu'on égalise au judaïsme et au christianisme, et tant qu'à faire, puisqu'ils sont identiques, pourquoi ne serait-ce pas l'islam, enfin, qui a tout intérêt à entretenir ce mensonge faussement oecuménique, puisqu'il entend bien que Mahomet en soit le dernier prophète. Ce serait une erreur de croire que l'islam serait plus proche du christianisme que du New Age, au motif qu'il ménage une place au corps, l'islam n'étant enfin qu'une immanence - occultisme ou exaltation de l'homme - travestie en transcendance: il suffit de constater toutes les ressemblances entre l'islam et les témoins de Jéhovah.

(2) L'un et l'autre n'existent que pour s'opposer à l'Eglise contre laquelle leur "dogmatique", si on peut l'appeler ainsi, est entièrement tournée (au lieu que la vérité s'affirme par elle seule et sans se baser par rapport à un autre: Je suis celui qui est celui qui est - affirmation absolue de l'être -, l'ancre à laquelle tout s'ancre et tout commence), et jusqu'à utiliser la calomnie.

(3) L'un et l'autre ont le symbole de la croix en horreur, les uns, pourtant adorateurs d'une pierre où Abraham aurait tronché sa servante, nous traitant, nous, d'idolâtres de la croix, les autres ayant sans explication convaincante mais très significativement remplacé la croix par un poteau. 
<<Ils nous accusent aussi d’idolâtrie parce que nous nous prosternons devant la croix qu'ils ont en horreur. >> (Saint Jean Damascène)

(4) L'un et l'autre rejettent farouchement la Trinité et l'Incarnation de Dieu; c'est à cela, dit saint Jean dans sa première lettre, qu'on reconnaît l'Antichrist. (La Bible prévoyait donc la venue de l'islam dans sa forme.)

(5) L'un et l'autre prétendent qu'il n'est écrit nulle part que Jésus est Dieu. (!!)

(6) Dans l'une et l'autre sectes, la secte a tant d'emprise sur eux, et leur a lavé le cerveau à tel point, que l'usage de la raison ne les ramène que très difficilement à la raison, tant le déni est ancré en leur chair.

(7) L'un et l'autres font du Concile de Nicée un caprice de l'empereur Constantin. Les témoins de Jéhovah, surtout, "semblent ne connaître que ce concile", comme le faisait remarquer un ancien témoin de Jéhovah devenu chrétien. C'est une façon de nier la tradition, de faire du christianisme une affaire politique - comme dans l'islam.

(8 ) Application littérale du coran; pour les témoins de Jéhovah: activités continuelles pour occuper les adeptes, lecture des publications de la Watch Tower, à l'exclusion de toute autre production, jugée malfaisante.

(9) Celui qui quitte la secte est renié par sa famille. Dans le cas de l'islam, il risque la mort. Les témoins de Jéhovah ont devoir de couper les liens avec les branches pourries et de faire passer le message aux autres membres. Contrôle horizontal: prise de notes sur les activités de chacun.

(10) L'un et l'autre suivent des cours de rhétorique, apprennent à mener des débats et à confondre leurs contradicteurs au cours de dialogues minés (et en fait, chez les gauchistes aussi, ce qui est fort significatif de leur pensée idéologique, sectaire, sans ouverture à l'autre, et surtout sans charité), dont saint Jean Damascène nous a montré déjà quelques échantillons dans son dialogue avec un musulman, comme les pharisiens venus interroger Jésus lui demandaient lequel des frères aurait l'épouse, question dont Jésus refusa l'alternative pour prendre la question de plus haut, et du rail duquel il s'agit de ne surtout pas dévier, car tout le débat est écrit par avance; le musulman posera cent fois la même question mal posée, jusqu'à ce qu'épuisé de répéter toujours la même chose, le contradicteur consente à rentrer dans les clous et signer son arrêt de mort.

(11) L'un et l'autre, et comme les gauchistes d'ailleurs, et tous les idéologues, ont dans leur sac une batterie de références et d'arguments préparés à l'avance. Et surtout, on reste dans la lettre, pas de déviation vers l'esprit: on lit toujours les écritures sans typologie: le chemin est tracé, il faudra passer un jalon après l'autre en oubliant tout le reste, faire acquiescer l'auditeur à une assertion après l'autre, qui ne sait pas où nous allons, afin de le piéger.

(12) L'un et l'autre ont une conception quantitative, pondérale de la foi. Comme Samuel ses troupes, ils dénombrent leurs adhérents, fidèles à Lucifer qui pense que c'est par le poids qu'on change les projets de Dieu, au lieu que Jésus nous dit, chrétiens, être le sel de la terre, et que dans les situations désespérées, l'Esprit nous assistera. 
(Le démon est quantitatif; il a conception publicitaire de la prédication. Peu lui importe que la vérité soit dite, entendue et sue par quelques-uns, du moment que son tapage et son mensonge empêche le plus grand nombre de l'entendre, qu'il soit jeté le trouble dans l'esprit du plus grand nombre et le plus d'hommes possible se perdent. Calomnier, calomnier, même si c'est de mauvaise foi criante: il en restera toujours quelque chose, personne ne vérifiera les faits: l'idée qu'"il n'y a pas de fumée sans feu" fera son chemin.
Animal social, l'islam est démocratique, étant masse informe d'être interchangeables.)

(13) L'un comme l'autre lisent le livre littéralement et n'entendent donc que des interprétations charnelles; l'un et l'autre ne conçoivent la gloire de Dieu que comme un règne temporel, l'un politique, l'autre millénariste. Les deux sont des religions sociales où les actions individuelles sont encadrées, et où l'on ne sort qu'au prix d'une rupture avec sa famille. Dans l'une et l'autre secte, celui qui quitte le groupe est mort socialement. La fausse charité et la chaude camaraderie qui le liaient au groupe disparaissent sans laisser de trace. La secte le bannit, retranche la gangrène, expulse la souillure. 
(Les témoins de Jéhovah regroupent bien des gens fragiles, ayant eu des deuils, cherchant dans le groupe un confort moral et matériel - et nous revoilà avec la crainte des musulmans de tout perdre, et avec l'obsession New Age du confort matériel, des vitamines, etc.)

(14) L'un et l'autre étouffent leurs scandales et affaires de moeurs en interne. (Les chrétiens, eux, font publiquement le ménage chez eux. Donnant ainsi le bâton pour se faire battre, ils passent pour des cochons.)

(15) L'un et l'autre se disent témoins de Dieu et défenseurs de Son divin honneur, comme s'il avait besoin de nous pour cela. Les témoins de Jéhovah se voient comme les seuls sauvés, gardiens du nom de Dieu, et les musulmans tuent ceux qui s'attaquent au prophète et injurient Allah (Allah serait-il le bras trop court pour déléguer ce soin à sa créature, demanderait le prophète Elie ?) Enfin, comme les témoins de Jéhovah, comme les protestants, on trouve des musulmans qui connaissent parfaitement la Bible - du moins les préposés au dialogue inter-religieux, c'est-à-dire les pions chargés de tendre des embûches à l'appui d'une lecture littérale de la Bible, comme nous le disions plus haut. Mais cette connaissance, justement, c'est que littérale: ils sont incapables de raisonner en esprit, de dévier d'un raisonnement historique - du moins de leur rhapsodie qui passe pour telle. Les témoins de Jéhovah ont falsifié la Bible pour appuyer leurs fantasmes sur la lettre. L'islam s'appuie également sur un texte fabuleux qui s'appelle le coran, dont les compilations de textes, déjà fantasmagoriques en eux-mêmes, ont produit les plus désopilantes contradictions.
Il existe d'autres corrélations entre l'islam et les mouvements christiques, notamment dans ce New-Age là qui a gangrené l'Eglise (le New Age étant une nébuleuse enveloppant aussi bien le bouddhisme que le para-christianisme). Celui-ci se caractérise par son fantasme d'un Dieu vaporeux, intérieur, partitif, et, bien qu'il ne l'avouera jamais, le rejet dans son coeur de l'Incarnation de Dieu: Dieu est intérieur, et pourquoi s'incarnerait-il pour nous sauver ?

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C'est un peu hors sujet, mais j'aimerais dresser quelques parallèles avec d'autres sectes. On montrerait de même:

__==Que l'islam comme le bouddhisme ont une conception essentielle du mal, qu'il veulent expulser, ou de la communauté, ou de soi-même.
__==Que l'un et l'autre compartimentent la vie, comme si la souillure était un cheval qui ne doit pas s'échapper de l'enclôt  - ce "lavage de la tâche" caractéristique des religions primitives -. L'obsession charnelle de l'islam, le hijab et les piscines pour femmes, en sont des exemples. Il faudrait peut-être d'ailleurs ici réfléchir au besoin de frontières, inhérent à l'homme: lorsque l'homme abandonne le dualisme métaphysique qui convient seul à la transcendance de Dieu, il recrée des frontières ailleurs: des frontières minuscules, superficielles, grotesques.
__==Que la franc-maçonnerie et l'islam sont deux monismes métaphysiques, des héritiers du néo-platonisme (qui est une sorte de panthéisme philosophique, si cette expression a un sens), c'est-à-dire de la gnose judéo-ésotérique. Filiation directe du talmud à l'islam, qui a tout pompé dans le talmud. L'islam est un illuminisme; la dissimulation est analogue en islam et en franc-maçonnerie (au contraire, le christianisme est un exotérisme: rien de caché. Comment la vérité serait-elle cachée ? Comment la vérité enseignerait-elle à mentir et à dissimuler, fût-ce aux "mécréants" ?). On peut même se demander si, au fond, le véritable islam, c'est le soufisme.
__==Que sous le rapport de la lettre, l'islam n'est qu'un judaïsme - la poésie en moins, mais avec la même haine talmudique anti-chrétienne, qu'il a directement copiée - alors que le bouddhisme, s'il a au moins le mérite de n'être pas un code martial, quelque chose qui ressemble à de l'esprit, n'est hélas pas une spiritualité rationnelle, pas plus que l'indéfinissable taoïsme.
__==Que l'islam et le New Age identifient leurs caprices à la volonté de Dieu: "ce que Dieu veut de moi", "ma mission", etc. Leur ressenti est parfois lui aussi, comme dans les sectes protestantes, identifié à la présence, sinon de "L'Esprit Saint", d'une présence divine.
Aussi, si un musulman tue un chrétien, c'est la volonté de Dieu, puisque, dit-on, si Dieu ne voulait pas cette mort, il l'aurait empêchée. Cette démission de la liberté, soit dit en passant, peut être mise en parallèle avec l'hérésie catholique romaine de l'Immaculée Conception.

__==On pourrait multiplier les parallèles entre l'islam et les sectes, et des sectes entre elles, mais il nous semble avoir fourni suffisamment de clefs: on n'en finit plus d'établir ces listes dont de nouveaux points se représentent continuellement à nos yeux.

__==Cette proximité établie de toutes les sectes entre elles, on admettra plus aisément que, malgré l'apparente diversité des hérésies, toutes sont semblables. Posons la conclusion qui s'impose: la multiplicité de spiritualités ne discrédite pas l'Eglise, comme le voudrait l'apathie relativiste. Le démon n'a pas d'imagination et, dans son vomissement de l'Eglise catholique romaine, il n'est capable de rien inventer. D'ailleurs, comment des sectes n'émergeraient-elles pas pour combattre la vérité ? Dieu les laisse, parce que telle est la loi de la Vérité, qu'elle est combattue par les menteurs, ainsi qu'en témoigne essentiellement l'Evangile, et par-dessus tout, pour nous inviter à réfléchir et discerner. Il me suffit de voir que toutes les sectes, l'islam et le protestantisme et son rejeton jéhoviste, la franc-maçonnerie et le progressisme, ne visent toujours que l'Eglise, catholique ou orthodoxe d'ailleurs, jamais ni le bouddhisme, le New Age ou l'islam. Cette exception unique suffit à manifester la vérité.

Tout le monde est contre l'Eglise, tout le monde lui crache dessus, comme ils crachaient sur Jésus. L'histoire de l'Eglise suit littéralement la vie de Jésus. Nous sommes haïs à cause de notre nom de chrétiens, comme Jésus nous l'avait annoncé. Le monde est unanime contre nous, preuve que nous sommes dans la vérité. Vous tous, musulmans, ONU, franc-maçons, progressistes, vous vous tenez les coudes, parce que vous êtes la même doctrine antéchrist; vous vous inventez des différences pour cacher votre commune haine de Dieu, tantôt déguisée en foi, tantôt déguisée en tolérance, tantôt déguisée en amour.

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__==Ce qu'on dit de favorable à l'islam est toujours, ou de la propagande, ou l'expression d'une soumission. L'homme est lâche et craint la souffrance. L'islam, comme le nazisme, séduit par des démonstrations de force, joue sur la virilité, l'intimidation par la force et la camaraderie - et montre le ciel avec son doigt. Tout ça n'est que du vent: le vrai courage est d'affronter la mort pour la vérité, le vrai martyr, le martyr chrétien. Un musulman ne risque pas sa peau. Or, on reconnaît la vérité à ce qu'elle risque sa peau. Le Christ, la Vérité, a été crucifié sur le Golgotha en tant que Vérité. Abjurer l'islam les expose au rejet, à être abandonné par les leurs (comme chez les témoins de Jéhovah), à être tués par leurs frères.

__==Bien que tant de musulmans savent en leur coeur que le Christ est la vérité, parce que la vérité a été annoncée à tous les hommes, leur crainte d'être seul et sans ressources matérielles, les deux craintes des hommes faibles, de perdre leur famille (mais une famille prête à les rejeter est-elle une famille ?), exposé à la mort, le dissuade de franchir le pas.

__==Saint Nicolas Vélimirovich marque, qu'entre autres sentiments, comme la peur et la jalousie << la peur de perdre la position, le pouvoir et les honneurs >> leur faisait prendre le côté de Pilate.

__==J'ai vu des musulmans se glisser dans l'église, au fond, près de la porte, quand l'office était commencé et qu'on leur tournait le dos, rasant les murs et n'osant franchir le pas du baptême. S'ils savaient comme Dieu nous assiste dans la vérité ! Un malien, apprenant que son meilleur ami était devenu chrétien, avait traversé le désert pour le tuer; le voyant venir à lui, le nouveau baptisé lui dit: "Je sais ce que tu es venu faire: tu es venu pour me tuer. Eh bien, fais-le, je t'en remercie, car grâce à toi j'aurai mérité le Royaume de Dieu", ce qu'entendant, son ami lui aussi devint chrétien. S'ils savaient, les chrétiens, comme il est aisé de convertir les musulmans, quand Dieu est avec nous !

__==Je connais trop la médiocrité des hommes, leur besoin de communauté, pour m'illusionner sur leur crainte de perdre leurs biens et leur vie. Ceux qui vivent en meute le font pour se donner de la contenance, mais ils se connaissent faibles.

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Il faut avoir la force de ne jamais accepter la moindre intersection entre notre foi et leur superstition. Ainsi seulement un échange sincère sera possible, condition nécessaire à leur conversion. Comme tous les hommes qui ont misé toute leur vie dans une erreur, ils espèrent se convaincre eux-mêmes bien plus que leur interlocuteur. Chaque concession que vous faites en pensant faire preuve de charité les renforce dans leur illusion, les fait persévérer dans le mensonge.

Musulmans il faut avoir la force de leur dire: vous êtes intégralement dans l'erreur; il vous faut un retournement complet de votre foi et de votre vie. Soyez humbles et courageux: devenir chrétien vous honorera. Vous vous endurcissez par fierté blessée dans votre islam, que dans le fond de votre conscience vous savez faux. Vous qui rasez les murs des églises comme des trafiquants de matériel pornographique, nous aurons grande admiration de vous, si vous encourez la sanction de vos familles, le bannissement et la mort, par soif de la vérité. Vous serez d'une minute à l'autre, et dès l'instant que votre corps aura touché l'eau du baptême, supérieurs à tous ceux qui sont nés en famille chrétienne; ceux que vous appeliez naguère vos frères vous attendront sur le parvis de l'église pour vous conduire au ciel en sortant.

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__==Tout est facile quand on prend le parti du mensonge. Facile pour les musulmans, facile pour ceux qui se soumettent à l'islam. Puisque l'islam est le seul sujet tabou sur cette terre, on démêle en son coeur que démystification et lutte contre l'islam se dressent sur le chemin chrétien comme les fourches caudines de l'étroit passage vers le ciel. Je vois mal Dieu pardonner à un lâche jacassant contre les témoins de Jéhovah, frappant un ennemi déjà bien ridicule et atterré et se taisant sur le chapitre de l'islam.

__==L'homme, étant à l'image de Dieu, un reste d'amour propre a besoin, pour se soumettre avec moins de honte, de se chercher des raisons à son silence et à sa soumission. Aussi, tout le monde adhère à l'idéologie anti-coloniale et anti-raciste, appelée wokisme, qui donne aux arabes toute licence de saccager notre pays, au motif fabuleux que nous leur aurions fait subir autrefois un sort semblable. La soumission est une lèpre qui laisse apparaître les futurs damnés et hommes sauvés. Plus s'approche le règne de l'Antichrist, mieux se fait jour qui se damne et qui se sauve; j'ai l'intime conviction que les damnés sont ceux qui se laissent porter par le mouvement, approuvent, accusent avec les autres - et partent en vacances.

Celui qui dit la vérité, la dit au risque de sa vie. Qui dit la vérité ? Facile: il suffit de regarder qui risque sa vie. Si ce que vous dites ne vous expose en rien, c'est probablement que vous aussi vous vous laissez porter par le soporifique et chaud mensonge.

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